Où en sont-elles ? Sur les 940 participants, il y a 15% de femmes. C’est relativement peu, mais c’est 1% de plus qu’en 2024.
La représentativité des joueuses est en progression constante. Ce n’est pas un boom des échecs féminins, mais c’est un petit pas de plus vers la parité de leur présence dans les opens, si chère à Mitra Hejazipour. En termes de résultats, où en étaient les meilleures joueuses au classement dans les opens du Cap, après la ronde 7 ?
Julia Scheynin (1926) occupait la 2e place ex aequo du Tournoi du Cavalier avec 6/7, invaincue avec 5 victoires et 2 nulles. Cette joueuse allemande expérimentée était 5e au départage. La cadette de Belgique Anastasia Ahn (1909) occupait la 10e place dans le peloton des poursuivants avec 5,5 points.
Dans l’Open de l’Avenir, la mieux classée était Lena Thirion Rutyna (1669). La minime du club de Caissargues, dans le Gard, a rêvé du podium. Elle était 7e ex aequo avec 5,5/7, même si elle n’occupait que la 17e place au départage.
Citation du jour
« Je suis contente que mon parcours intéresse les médias. J’essaie d’en profiter pour promouvoir les échecs féminins et pour parler de la situation des femmes en Iran. »
Mitra Hejazipour






